Mépris déni dépit

 


Mépris, déni, dépit. La rentrée en trois maux !

Mépris, faut-il encore que je développe ces profs de dépannage, ces autres formés en quelques jours, quelques mois au mieux. Car nous sommes en pénurie ! Quel mépris. Et l'on vient nous parler d'excellence.

Laissez là vos propos cosmétiques, vos artifices de langage, vos tours de passe passe. Bateleurs, mauvais payeurs, faux-monnayeurs d'espoirs, débiteurs et créditeurs de mérites aux comptes à découvert proches de la banqueroute !

Déni de réalité. Actualités soufflant le chaud et le froid mais surtout le vide de moyens et de perspectives. Ecrans de fumées agités devant le précipice écologique, politique, philosophique. Voulez-vous nous rendre idiots pour nous évitez la conscience de le fin de plus en plus proche ?

Dépit de nos espoirs chaque fois déçus. De nos travaux inutiles, de l'énergie usée à rien ! Colère qui germe qui monte. Levain d'un pain de plastic qui pourrait vous exploser à la face parce que justement, à force de faire des pirouttes et de distribuer des cacahuètes cela ne pourra que mal finir. La pandémie de la peste noire se rapproche ...

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